mardi 2 décembre 2008
pendant 7 ans
bonjour je m'appelle Patrick Guiho je suis né en 1955 j'ai passé 7 ans a l'institution Paul Neyrand de 1962 à 1969 j'ai de tres bon souvenirs
dimanche 30 novembre 2008
Jean-Louis CONSTANTE
Bonjour,
Je me nomme Jean-Louis CONSTANTE
J'ai été élève chez Neyrand à Nogent durant l'année scolaire 1957-1958
Mes seuls souvenirs sont:
Que c'était très très dur de rentrer à la pension chaque dimanche soir, j’habitais Paris rue de la convention, et je voyais arriver avec horreur l’heure du départ pour Nogent en fin d’après midi.
Qu'il existait une lingerie que j'imagine être au rez-de-chaussée du dans l'aile droite du bâtiment
avec des casiers en bois un peu comme une bibliothèque et avec une échelle pour accéder aux casiers les plus hauts.
Je me suis même retrouvé un jour à plat ventre au sol sur cette échelle qui avait glissé je crois que le parquet était ciré.
Je revois aussi le réfectoire au début de l'aile gauche du bâtiment, j'ai comme souvenir la chanson enfantine "Pirouette cacahouète ma maison est en carton ses escaliers sont en papier" que j'ai chanté à cette époque là, et les quelques fois ou je réentend cette chanson je me revois en train de la chanter dans ce réfectoire en rez-de-chaussée sans étage au dessus.
J’imagine aussi le dortoir à l’étage dans la partie gauche du bâtiment du fond, les alignements de lits métalliques.
C’est peu être bizarre, mais ce dortoir me rappelle aussi une chanson de l’époque " Auprès de ma blonde "
ou " j’irai revoir ma blonde j’irai revoir ma mie " que nous chantonnions alors.
Je me rappelle aussi des promenades au bois de Vincennes, dans mon esprit, nous y allions en partant par la rue qui longe le bâtiment de droite.
J’ai le souvenir des feuilles de marronniers et des marrons que nous ramassions pour jouer avec,
Mais ceci plutôt dans la rue qui menait au bois.
Je me rappelle aussi avoir entendu par mes camarades que des motards faisaient de la moto dans ce bois de Vincennes, mais je n’en ai jamais vu.
Je me souviens aussi de l’expression de l’époque « La bourse ou la vie ou la tête à Coty «
Enfin, ces souvenirs vous feront peut-être sourire, mais ce sont les miens, et je suis heureux de pouvoir les faire connaître à des personnes avec qui j’ai partagé un moment de ma vie.
Cordialement
Jean-Louis
PS :
Je suis à la retraite depuis le 1er novembre 2008 après une carrière d’électricien dans le secteur privé.
Je me nomme Jean-Louis CONSTANTE
J'ai été élève chez Neyrand à Nogent durant l'année scolaire 1957-1958
Mes seuls souvenirs sont:
Que c'était très très dur de rentrer à la pension chaque dimanche soir, j’habitais Paris rue de la convention, et je voyais arriver avec horreur l’heure du départ pour Nogent en fin d’après midi.
Qu'il existait une lingerie que j'imagine être au rez-de-chaussée du dans l'aile droite du bâtiment
avec des casiers en bois un peu comme une bibliothèque et avec une échelle pour accéder aux casiers les plus hauts.
Je me suis même retrouvé un jour à plat ventre au sol sur cette échelle qui avait glissé je crois que le parquet était ciré.
Je revois aussi le réfectoire au début de l'aile gauche du bâtiment, j'ai comme souvenir la chanson enfantine "Pirouette cacahouète ma maison est en carton ses escaliers sont en papier" que j'ai chanté à cette époque là, et les quelques fois ou je réentend cette chanson je me revois en train de la chanter dans ce réfectoire en rez-de-chaussée sans étage au dessus.
J’imagine aussi le dortoir à l’étage dans la partie gauche du bâtiment du fond, les alignements de lits métalliques.
C’est peu être bizarre, mais ce dortoir me rappelle aussi une chanson de l’époque " Auprès de ma blonde "
ou " j’irai revoir ma blonde j’irai revoir ma mie " que nous chantonnions alors.
Je me rappelle aussi des promenades au bois de Vincennes, dans mon esprit, nous y allions en partant par la rue qui longe le bâtiment de droite.
J’ai le souvenir des feuilles de marronniers et des marrons que nous ramassions pour jouer avec,
Mais ceci plutôt dans la rue qui menait au bois.
Je me rappelle aussi avoir entendu par mes camarades que des motards faisaient de la moto dans ce bois de Vincennes, mais je n’en ai jamais vu.
Je me souviens aussi de l’expression de l’époque « La bourse ou la vie ou la tête à Coty «
Enfin, ces souvenirs vous feront peut-être sourire, mais ce sont les miens, et je suis heureux de pouvoir les faire connaître à des personnes avec qui j’ai partagé un moment de ma vie.
Cordialement
Jean-Louis
PS :
Je suis à la retraite depuis le 1er novembre 2008 après une carrière d’électricien dans le secteur privé.
le bonjour de JLouis
Bonjour,
Je me nomme CONSTANTE jean-Louis je suis né en 1949
J'étais élève chez Neyrand à Nogent dans l'année scolaire 1957-1958
j'ai trouvé ce blog par hasard et je le trouve intéressant
je voudrais y apporter mon témoignage des quelques souvenirs qui me reviennent
Mode d'emploi ? ? ? ?
Merci d'avance
RE: je t'ai envoyé une invitation,,
cordialement
Alain
Je me nomme CONSTANTE jean-Louis je suis né en 1949
J'étais élève chez Neyrand à Nogent dans l'année scolaire 1957-1958
j'ai trouvé ce blog par hasard et je le trouve intéressant
je voudrais y apporter mon témoignage des quelques souvenirs qui me reviennent
Mode d'emploi ? ? ? ?
Merci d'avance
RE: je t'ai envoyé une invitation,,
cordialement
Alain
Inscription à :
Articles (Atom)